Description
Un vrai grand roman d’amour.
Aussi drôle que douloureux…
Le drame familial de la Shoah, la maladie d’Alzheimer et cette auto-dérision caractéristique de l’humour juif, forment le noyau de cette désopilante chronique - joyeusement mélancolique - où le burlesque et la légèreté s’emparent de tout.
Nous voilà donc face à une histoire d’amour et de mort, une histoire faite d’amnésie et de souvenirs, celle qui lie la narratrice à sa mère, à sa famille, à son histoire.
Au fil des pages, nous sommes entraînés dans le quotidien d’un EHPAD, avec ses aberrations administratives et ses situations cocasses.
L’auteure nous raconte le rire de sa mère, le Monsieur-Qui-Pisse-Partout, la passion pour « Des chiffres et des lettres », les « Vayalé » récurrents du monsieur en fauteuil, René-la-grande-gueule…
Elle nous dit aussi la mort qui rôde.
L’auteur
Laurence Kleinberger est « maîtresse des soucis » dans un centre psychopédagogique. Lorsqu’elle ne travaille pas, elle écrit des romans et la nuit, elle invente des histoires pour enfants.
Elle affiche à toute heure un optimisme arrogant et presque irrespirable.
Après J’ai pas tué Gérard, enfin je crois… et Le jour où mon alzhei’mère échappa aux griffes d’un nazi constipé grâce à un tueur croate à la coiffure étrange, elle récidive brillamment, avec son humour au vitriol, sa tendresse, son tragique, sa judaïté et sa folie !
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