Description
Auteur de « Comment Parler le Belge (et le comprendre, ce qui est moins simple) » sorti aux Editions Points (Seuil, Paris) en avril 2010, Philippe Genion fut le premier surpris du succès que remporta son premier livre. Un raz-de-marée de presse, d’honneurs et d’invitations parallèlement à des ventes de plus de 25000 exemplaires, dans une collection où les meilleures ventes se chiffrent en 4 caractères seulement. Record absolu des ventes dans la première librairie de Wallonie, battant Harry Potter et Dan Brown, c’est rare pour un premier opus. Du coup, écrire devînt son activité première. Pour la presse, pour des sites, pour lui-même et énormément pour les gens, via ses pages, groupes, sites où il fait déferler son flot continu d’idées et de coups de gueule !
Ce livre réunit les chroniques hedomadaires écrites par Philippe GENION dans la Nouvelle Gazette (Charleroi) durant la saison 2011-2012. Ces chroniques sont augmentées, élargies (à l’image de leur auteur) et remasteûûrisées pour le présent ouvrage. De plus, des statuts et posts commis par l’auteur sur les réseaux sociaux enrichissent le livre de bons mots, de simples tranches de vie, de réflexions PHILosophiques (ou pas), l’ancrant encore plus profondément dans le concret, l’humain, l’actualité et le délire.
Philippe Genion
Philippe Genion est un carolo pur, dur et gros. Il est né en 1962 (cette année-là, oui) mais raconte à tout le monde qu’il naquit en fait en 1947, ce qui ne lui apporte que des compliments quant à se prétendue jeunesse apparente ! Gros et fier de l’être, il est épicu-tout. Wallon, Belge, Européen, œnophile, membre de la Gilde des Sommeliers, vendeur de vins,
naturaliste herpétophile, musicien de rock industriel, artificier, critique gastronomique, promoteur, organisateur de concerts et de conventions, un peu de cinéma et de télé et en plus, il écrit ? Pfff, cet homme est fatigant…
Extraits préface
« (…) Votre privilège sur le lecteur du samedi des Nouvelle Gazette de naguère est de pouvoir lire ces chroniques avec mon autorisation, mais sans la censure à laquelle m’obligeaient mes fonctions. Raison de plus de se délecter.
Indépendamment des fugaces tourments de l’actualité, carolorégienne ou pas, la prose de Philippe Genion réjouit.
Elle réjouit par la vivifiante liberté qu’elle suppure. Sur tout, partout, Philippe Genion prône les solutions les moins conservatrices. Donc souvent les moins correctes. Donc, souvent les plus dérangeantes. Il est donc statistiquement inévitable que votre sensibilité soit heurtée par au moins une des incorrections de l’auteur. Nulle posture provocatrice là-dedans. Philippe Genion croit en ce qu’il dit, et croit en ce qu’il vit. Il incarne donc, jusque dans ses excès, la quintessence de notre liberté. Profitons-en ! Profitez-en !
Elle réjouit également par sa densité. Chaque phrase recèle dix pirouettes, et chaque pirouette recèle dix fulgurances. Car Philippe Genion est une usine à feintes. D’une formidable productivité. Il suffit, pour s’en convaincre, de lire les chroniques qui suivent (…) »
Extrait de la préface de Nicolas De Decker, ancien éditorialiste à La Nouvelle Gazette qui engagea Philippe Genion
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