Les manuscrits de Tongres

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Pour lire un extrait : LES MANUSCRITS DE TONGRES Dominique Meeùs et Isabelle Biquet EXTRAIT

Les manuscrits de Tongres
D’étranges manuscrits anciens découverts à Tongres, dans une très vieille maison. Ils ont été traduits et illustrés et nous dévoilent des bribes de vie des gens de l’époque (Moyen-âge?). Ces écrits nous parlent d’une civilisation inconnue…

Un livre entre le code Voynich et “Voyage en Grande Garabagne” d’Henri Michaux…

Nous découvrons ici un Dominique Meeùs plus sérieux qu’à son habitude. Après deux livres d’humour et un troisième décrivant un hôtel imaginaire, il semble avoir laissé son goût de la plaisanterie au placard. Le sujet ne s’y prêtait sans doute pas. Nous retrouvons cependant une de ses constantes, être toujours là où on ne l’attend pas. C’est que le changement, il aime ça : dessinateur, sculpteur, créateur d’objets farfelus, il est toujours prêt à se lancer dans de nouvelles aventures, du moment qu’elles l’amusent. Car il ne craint qu’une chose, c’est de s’ennuyer. Ou d’ennuyer ses lecteurs. Voilà pourquoi, sans doute, ses livres se suivent mais ne se ressemblent pas.

Dominique Meeùs
Nous découvrons ici un Dominique Meeùs plus sérieux qu’à son habitude. Après deux livres d’humour et un troisième décrivant un hôtel imaginaire, il semble avoir laissé son goût de la plaisanterie au placard. Le sujet ne s’y prêtait sans doute pas. Nous retrouvons cependant une de ses constantes, être toujours là où on ne l’attend pas. C’est que le changement, il aime ça : dessinateur, sculpteur, créateur d’objets farfelus, il est toujours prêt à se lancer dans de nouvelles aventures, du moment qu’elles l’amusent. Car il ne craint qu’une chose, c’est de s’ennuyer. Ou d’ennuyer ses lecteurs. Voilà pourquoi, sans doute, ses livres se suivent mais ne se ressemblent pas.

Isabelle Biquet
Isabelle Biquet possède un style bien à elle et n’entend se laisser influencer par personne. Elle aime varier les techniques, passant avec bonheur du burin de sculpteur à celui de graveur, de la pierre au bronze, du pinceau au crayon, du pastel au fusain, ou encore de l’encre de chine au stylo à bille. La seule chose qu’elle semble craindre, c’est de se répéter, or l’illustration de textes manquait à son tableau. Ouverte à toutes les aventures artistiques, c’est donc sans hésiter mais avec un brin d’inconscience qu’elle s’est lancée dans les Manuscrits. Pour un coup d’essai, ce fut un coup de maître, à en croire l’accueil enthousiaste qu’ont récolté ses dessins.